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Avril 2013
Parutions dans :
- “L’Art sous toutes ses formes”
(Recueil des peintres du Poitou-Charentes)
- Le Sermadiras
(Guide de l’art international)
- Drouot Cotation
Sollicité par :
- le Salon d’Automne (Paris)
- le Salon des Artistes Français (Paris)
- le Salon de la Marine (Paris)
- le Salon International de la Peinture à l’Eau de Trégastel
- la Galleria d’arte moderna « ALBA » pour “ARTexpo” de NEW YORK
- Drouot Cotation
- Le Sermadiras
- STAART (guide international d’artistes contemporains)
- L’association Française pour la Promotion des Artistes Plasticiens
- Les éditions « REGARDS »
- Les Galeries « Marceau », « Thuillier »… ( Paris)
- Plusieurs salons étrangers : Nouvelle Zélande, Autriche, Italie …
Gil QUIOC
L'attirance pour le premier jet, souvent plus artistique que l'œuvre finie séduit Gil QUIOC qui choisi l'aquarelle vers l'âge de 20 ans. Ce médium convient bien à son tempérament où s'associent spontanéité et sensibilité d'expression. Il en apprécie également la fluidité, la transparence... les effets dus au hasard.
Son exposition en 1992 au sein de l'actuel Hôtel Mercure d'Angoulême devient permanente durant 18 belles années, ce qui lui permet d'acquérir une certaine reconnaissance au niveau régional, national, international (1er prix de Cognac 1996, prix de la Fondation Paul Ricard 1994, Salon des Artistes Français 1994 et 1996 à Paris, Artexpo 2002 à New York...)
Peu à peu sa peinture évolue vers un style de plus en plus libre et spontané qui s'éloigne du figuratif pour s'orienter essentiellement vers l'abstraction lyrique. Imprégnée de spiritualité, cette expression se concrétise par une gestuelle chère à des artistes comme Jean Degottex (1918-1988), Hans Hartung (1904-1989), Joan Mitchell, Jackson Pollock, Cy Twombly, Franz Kline, Simon Hantaï, Antoni Tapies, Olivier Debré ...
C'est par la contemplation, la méditation en pleine nature, dans le silence et l'isolement que les étonnements et l'inspiration se déclenchent. Les nombreuses photographies ne mémorisent pas seulement le visuel mais aussi le souvenir d'états d’âme qui, à l'atelier, renaissent, se reconstituent, s'amplifient d'une autre manière par le mélange des images recensées mais aussi grace à la musique, les lectures, les évènements de la vie privée, sociale, politique ...
Certaines créations apparaissent plus ou moins sobres, chargées ou épurées, parfois colorées, monochromes et blanc sur noir.
Le tableau est vivant et se révèle par les accidents, les hasards ... Il a sa vie qui lui est propre. Il faut être réceptif, ouvert à l'instant et s'adapter en se laissant guider intuitivement. Par l'acquisition d'une “écriture” qui ne cesse d'évoluer, la main fait le lien avec un imaginaire inconscient et les signes qui se révèlent sur le support. L'œuvre apparait ainsi progressivement ou instantanément grace à une relation fusionnelle, instinctive, sous l'emprise d'une pulsion émotionnelle sensible, fulgurante, exacerbée, imprégnée de joie ou de tristesse, de colère, de tendresse, d'amour...
Les notions d'espace, de temps, de mouvement, de rythme deviennent au fil des années, de plus en plus évidentes, sous la forme d'une expression toujours plus libre, spontanée ... Cette « grammaire » gestuelle par le trait, les traces, hachures, projections, griffures, rapides, lents, tourbillonnants, rectilignes.... construit, détruit la création en cours. C'est le ressenti de l'instant qui s'exprime ainsi de façon fulgurante ou posée telle une écriture musicale empreinte de sensibilité pure.
L’authenticité dans l’expression prédomine les notions de beauté, d’esthétique...
L'œuvre finie semble inachevée. Elle se projette dans le temps, dans l'espace et continue seule sa trajectoire imprégnée d'énergie et de vie intense. Le regard du spectateur devient ainsi acteur et fait partie intégrante de l'accomplissement d'une œuvre qui se prolonge à l'infini …
Liens internet : http://gilbert.quioc.over-blog.com/
https://www.instagram.com/gilquioc/
https://www.facebook.com/gil.quioc/
G. QUIOC
1956 : Nait le 6 Mars à Lorient
1966 : Après plusieurs séjours à l’étranger durant son enfance (dont notamment 2 années passées en Nouvelle Calédonie), il revient à Lorient pour finalement venir vivre en Charente. Le dessin, mais aussi le solfège occupe ses distractions. Il découvre également la photo noir et blanc.
1970 : Le saxophone et aussi le cyclisme prennent une part importante de ses loisirs. Ce sport va d’ailleurs aiguiser son sens de l’observation et il commence à peindre des paysages au pastel, et surtout à la gouache.
1976 : L’exposition d’un aquarelliste anglais à Angoulême, lui provoque le déclic. Dorénavant, l’apprentissage de l’aquarelle devient une vraie passion. C’est en autodidacte qu’il appréhende ses premières œuvres .
1978 : Son attirance pour la mer et la pratique assidue de la planche à voile lui procurent l’irrésistible désir de traiter bon nombre d’aquarelles sur le thème maritime où les ciels prennent souvent une place importante.
1984 : Il aménage chez lui, un atelier à Champniers.
Une longue période de travail le mènent à entreprendre ses premières expositions au niveau local. Les thèmes traités sont le plus souvent, des paysages de Charente et des marines mais les visages féminins lui permettent d’aborder les portraits qu’il essaye de traiter de façon très spontanée.
1988 : L’étendue de son public s’agrandit et c’est maintenant sur le plan régional qu’il acquiert ses premières distinctions, notamment un premier prix du jury à Cognac.
1996 : Après avoir participé à de nombreuses expositions régionales mais aussi à des salons d’ampleur internationale comme ceux de La Rochelle où des Artistes Français à Paris, il se détache peu à peu de cette course aux distinctions et consacre son temps et son énergie au travail de peintre.
Dorénavant, c’est en explorant les plus grands musées parisiens et de province qu’il s’intéresse plus particulièrement à Matisse, Giacometti, De Stael, Bacon... D’ailleurs, des ouvrages comme (entre autres): «L’art de l’impossible » par D. Sylvester sur Bacon ou « Ecrits et propos sur l’art » de Matisse font aujourd’hui encore, partie intégrante de son cheminement.
Sa progression vers une peinture abstraite s’intensifie.
1998 : Une salle d’exposition à son domicile de Champniers est désormais ouverte au public.
Il est sollicité à plusieurs reprises pour exposer ses œuvres à l’étranger, notamment « ART EXPO » à New York, où il participe par l’intermédiaire d’une galerie italienne.
2003 : Il décide d’annuler les expositions mais continue malgré tout à persévérer dans sa quête vers une expression plus libre.
2008 : La visite d’une exposition de Hans Hartung à la fondation Maeght, conforte son cheminement vers l’abstraction lyrique qu’il va considérer désormais comme son mode d’expression favori.
Soulages, Franz Kline, Francis Sam, Jean Degottex, Simon Hantaï, Cy Twombly … deviennent alors ses principales références.
2010 : Il s’installe à Vouharte pour se consacrer entièrement à son travail de peintre. La sérénité de ce vieux village de Charente, lui permettent d’approfondir ses recherches vers une peinture plus empreinte de spiritualité.
2011 : Les créations apparaissent de plus en plus sobres, parfois colorées puis noir et blanc. Le tableau est vivant, il a sa vie qui lui est propre...
2012 : Les notions d'espace, de temps, de mouvement, de ryhtme deviennent de plus en plus évidents, sous la forme d'une expression libre, spontanée et basée principalement sur la gestuelle. Le trait, les traces, les hachures, les projections, les griffures... construisent et détruisent l'oeuvre en cours. Le geste est rapide, lent, tourbillonnant, rectiligne.... C'est le ressenti de l'instant qui s'exprime ainsi de façon fulgurante ou posée, telle une écriture musicale empreinte de sensibilité pure. L'oeuvre finie semble inachevée. Elle se projette dans le temps, dans l'espace et continue seule sa trajectoire imprégnée d'énergie et de vie intense. Le regard du spectateur devient ainsi acteur et fait partie intégrante de l'accomplissement d'une oeuvre qui se prolonge à l'infini ...